Le jeu et moi.
Publié le 28 Novembre 2010
“Et toi, tu joues un peu, beaucoup, passionnément … ”
Si tu demandes à mes amis, ils te diront que non, je ne suis pas joueuse (combien de parties de cartes refusées). Si tu demandes à mes enfants, ils te diront que non, je ne suis pas joueuse (d'ailleurs ils ne me demandent même plus de jouer avec eux... ça se transforme vite en "et si on jouait à ranger la chambre ?"). Si tu demandes à ma soeur, elle te dira que non, je ne suis pas joueuse (combien de fois je l'ai laissé en plan au bout de 5 minutes avec les playmobils ou les barbies sur les bras.)
Mais en vérité je ne suis pas joueuse par prudence (bon ok, quand je jouais avec ma soeur c'était pas de la prudence,... ni avec mes enfants... là ça s'appelle clairement de la flemme épaisse., mais là n'est pas le sujet, recentrons nous tu veux bien...?).
En vrai quand j'étais une jeune adolescente, les consoles de jeux n'étaient pas quelque chose de très répandu, mais on avait un ordinateur familialet j'avais récupéré des disquettes avec des jeux dessus. Y en avait un qui s'appelait Arkanoïd et j'étais accro. Je me rappelle encore des heures que je passais là-dessus à essayer de battre mon propre record. J'ai arrêté d'y jouer le jour où les disquettes 5.25 ont disparu. Paix à leur âme.
J'ai compris après ça que si je ne voulais pas devenir accro-dépendante il fallait que j'éloigne toutes formes de jeux vidéos de ma vue. Et j'ai plutôt pas mal réussi. Bon j'ai sombré dans le Mahjong sur ordinateur pendant un temps, mais je m'en suis sortie quand le disque dur de l'ordinateur a flambé.
Bref je n'ai jamais osé acheté de console de jeux... mais si on pouvait m'en offrir une, ça serait franchement pas de refus... c'est pour ça que je joue ce soir chez Libelul... in extremis ! Parce que celle là, je la trouve vraiment extra...